jeudi 30 mars 2017

Important message

Disparition inquiétante

Santosh Dahal originaire de Kathmandu Népal, homme âgé de 24 ans résidant en France est porté disparu depuis le 4 mars 2017 à 23:30 à Aubervilliers. Les policiers ont été informés le 6 mars 2017.
Il n’a donné aucune nouvelle depuis. Merci de nous informer ou informer la police si vous avez vu ou si vous avez de ses nouvelles.
Voici sa photo.

21 mai Tous a St Jacut pour le trail



jeudi 23 mars 2017

Samedi22 Avril Journee des plantes


A vos plantoirs!
Foire aux plantes au profit de l'Association
Little World Népal France

L'association
Little world Népal France
organise
la 6ème édition
de sa foire aux plantes
à l'abbaye.
Ce sera l'occasion
pour les amateurs de plantes et de boutures de se faire plaisir tout en agissant pour une bonne cause.
L'association compte sur vos dons de jardiniers pour confectionner des plants variés,
qui seront vendus au profit de LWNF et de ses actions auprès des jeunes étudiants népalais.

Les personnes désirant offrir des plantes ou des boutures sont invitées à les déposer à l'abbaye
ou à prendre contact avec Claude Feillatre au 06 67 30 99 17.







dimanche 19 mars 2017

Pollution dans Katmandou

Poussières avec les travaux entrepris dans la capitale, les rues sont continuellement dans un brouillard de particules de sable et de gaz.

Bonne photo pour expliquer la situation


samedi 18 mars 2017

Népal: un camp de réfugiés du séisme rasé


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  • jeudi 16 mars 2017

    Nouvelle de YUBRAJ

    Namaste everyone!
    I hope everything is going well for everyone.
    I have been studying hard for the last few months. Almost all the time i spend on study. First phase of MBBS is complete which covers one and half years. There are four phase to complete MBBS study which includes 5 years total plus 1 year internship according to the education system in Bangladesh. Among the four phases, first phase is complete and there will be university board exam of this phase on May. So i have got leave for the exam preparation nowadays.
    I have almost one month leave for the exam preparation. So I am working hard with all my courage and try for the best.
    I have succeeded in all the internal exams conducted by the college with good result.
    Not regularly but sometimes I get a talk with my families in telephone. Everything is good for them. May be I am going to Nepal after I complete my exam. There will be around one month vacation before another session starts.
    Thank you everybody for your remarkable supports which made me more confident to build up my career.

    Yubraj Tamang

    mercredi 15 mars 2017

    Le Népal au départ du trail des Ebihens ?


    Sajjan Ghale (Tsering) nous a accompagnés pendant toute la durée de notre voyage au Népal (2015)en Novembre dernier. A Magapauwa, il avait avec nous eu l'occasion de faire sa première course à pieds dans le village de Tapindra. Il y a pris goût, puisqu'il a par la suite participé au semi-marathon de Katmandou en Février. Il a parcouru 20 kilomètres en 1 heure et demie et a fini 17e ! 

    En 2016 il fut également notre guide pour les régions de Rasuwa et Dolhaka, son français est devenu très bon, il est toujours aider par l'associaton LWNF pour ses cours de Français a l'Alliance Française de Katmandou.

    Toujours prêt a participer a des courses a pied au Népal, il est toujours dans les 7 premiers dans ces événements

    S'il obtient son visa pour la France, Tsering sera au départ du Trail des Ebihens le 21 Mai prochain. 

    Pour rappel, le Trail des Ebihens aide depuis plusieurs années l'association LWNF. Lors de l'édition 2015 et 2016 500 euros avaient été remis à l'association par les organisateurs !




    Tsering au semi-marathon de Katmandou en Février
                                             

    On espère te voir à Saint-Jacut en pleine forme... On t'attend !!

    lundi 13 mars 2017

    Suresh commence l'école Lundi 13 Mars

    Il y a encore une semaine Suresh était en Malaisie avec des problèmes pour revenir dans son pays, avec l'aide de LWNF, il a réussi à refaire des documents qu'ils lui ont permis de prendre un avion pour Kathmandu.


    Lundi matin, il sera présent à l'école de Ghormu dans son village pour son nouveau travail, il occupera le poste de professeur d'anglais pour les petites classes.

    Bonne chance dans ton nouveau métier Mr Suresh.


    accueil de Mr Bishmu (le directeur de l'école)


    les élèves des petites classes



    On laisse les chaussures à l'extérieur des classes

    Holi, la fête colorée du printemps.

    Dimanche 12 Mars était la journée des couleurs au Népal

    Article prevenant du site 

    CONSULAT DU NEPAL

    Holi

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    Jeunes femmes durant Holi
    L’ancienne fête religieuse hindoue “Holi” tombe fin février début mars. Prétendument nommé d’après le démon mythique « Holika », ce jour correspond à la célébration des couleurs. Cette fête dure une semaine. Toutefois, seul le dernier jour est fêté par tous avec des couleurs« Phagu » est l’autre nom de « Holi », il signifie « Poudre rouge sacrée » et Pune est le jour de pleine lune, qui marque la fin de cette fête. On peut voir des gens se promener dans les rues, à pieds ou en voiture avec différentes tâches colorées sur eux-mêmes.
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    Jeunes filles durant Holi
    Familles et amis se retrouvent pour célébrer cette occasion dans la joie. Cette célébration du printemps est aussi une explosion de l’exubérance de la jeunesse dans laquelle les jets de couleurs et de ballons d’eau sur les passants sont admis. Mais la communauté indienne, la caste Marwari, qui s’est installée au Népal depuis plusieurs siècles, ainsi que la population du Téraï, célèbre cette fête un jour plus tard en grande cérémonie. Les jours qui précédent le dernier ne comportent pas d’évènements particulier, à l’exception du premier jour de cette fête appelé « Chir ». On exhibe alors un grand mât en bambou décoré de bandes et de franges colorées, sensé porter bonheur. On dit qu’il symbolise l’arbre sur lequel le seigneur Krishna suspendit, sans être vu, les vêtements des fermières pendant qu’elles prenaient leur bain dans la Jamuna au nord de l’inde. L’érection de ce mât dans la rue à Basantpur (place de Kathmandu près de l’ancien palais royal), marque le début des festivités et des célébrations pour une semaine. A la fin de celle-ci il sera brûlé dans un grand feu de joie.
    Le mythe de Holi révèle qu’un démon nommé « Holika » avec son frère, un roi athée appelé « Hiranyakasyapu », conspiraient sur les moyens de tuer son fils Pralhad, qui croyait dévotement en Vishnu. Mais leurs manœuvres avaient toujours échoué car le Seigneur Vishnu protège ceux qui l’aiment. Finalement, Holika qui avait reçu le pouvoir du Seigneur Brahma d’être insensible au feu, sauta dedans avec Pralhad. Mais les pouvoirs conférés par Brahma ne peuvent qu’être utilisés pour de bonnes actions et ainsi Holika succomba dans le feu tandis que Pralhad fut sauvé par la grâce de Dieux. Ainsi Holi célèbre dans la réjouissance l’extermination de Holika et le feu de joie traditionnel commémore sa mort.
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    Marchand de couleur pour Holi
    Selon une autre histoire issue des Puranas et de la Bhagavat, Kansa avait envoyé un démon femelle appelée « Putna » pour tuer son neveu le Seigneur Krisna ». Prenant l’aspect d’une infirmière, Putna s’en vint à Bindaban où Krishna enfant grandissait. Elle tenta de le nourrir avec du lait empoisonné mais ses agissements eurent l’effet inverse et elle mourut. Son corps fut brûlé dans la nuit de Holi. Ainsi certains considèrent Holi comme la fête du feu.
    Holi est pour chacun un moment d’amusement et de farce ; Un jour où l’on oublie son anxiété quotidienne et où l’on se réjouit des choses agréables de la vie.

    dimanche 12 mars 2017

    Un endroit de rêve au Népal: GHORMU

    C'est toujours avec un grand plaisir de retourner dans ce petit village de Ghormu dans le district de Rasuwa.
     Le paysage est une carte postale du Népal, sa population est l'une des plus accueillante.




    mercredi 8 mars 2017

    8 Mars journée de la femme


    Le Népal vient de célébré la journée de la femme, écoles, administrations étaient fermées pour cette occasion.
    Malheureusement sur les chantiers de reconstruction des bâtiments, dans les campagnes les femmes étaient au travail à porter des sacs de sable, briques, pierres etc....

    habits traditionnels portés pour la journée de la femme






    Journée a Namobuddha Kavre

    Très belle journée passée en compagnie de Mr Niranjan et de son fils Sazan au monastère de Namobuddha Kavre à  1 heure 30 de Katmandou










    lundi 6 mars 2017

    Repérage pour la course en octobre

    Tsering nous fait connaitre des chemins de trail juste à la sortie de Katmandou, on est en train de vous prépare un trail de 10 à 12 kilomètres avec un départ au TROIS BOUDDHA de Swayambhunath

    Image associée
     et surement une arrivée dans un temple comme le Yellow Gumba

    il y aura de la monté, des marches,des chemins étroits surement une bonne mise en jambe pour un premier trail.







    dimanche 5 mars 2017

    Samedi soir, repas en honneur d'Annick et de Suresh



    Un dalbat organisé dans l'appartement de Tapindra en présence de sa famille et des amis Milan, Tsering et bien sûr Annick et Suresh.
    Remise de cadeaux pour Annick de la part des jeunes pour son aide et ses passages au Népal.  Un grand Welcome à Suresh pour son retour au Népal et sa prochaine mission au village de Ghormu ou il prendra le poste de  professeur d'anglais dans cette petite école.






    De la guérilla aux marathons des cimes

    PortraitMira Rai, championne de course à pied.


    Elle court comme elle respire. Et elle a ce rire en cascade qui exprime une irrépressible joie de vivre. Légère et facétieuse, Mira Rai s’amuse à poser pour le photographe dans un champ dominant l’Abbaye de Montheron. En grandissant dans un village misérable de l’est du Népal, elle n’imaginait pas arpenter un jour des pays inconnus. Jusqu’à ce jour où, un peu par hasard, elle participe à une course de 50 kilomètres sur les flancs de l’Himalaya. C’est sa première compétition et elle remporte l’épreuve. Ce jour du printemps 2014, la roue du destin a tourné en sa faveur.
    Mira Rai
    La jeune Népalaise, 27 ans, est à Lausanne à l’invitation de Norlha, une ONG lausannoise soutenant les populations de l’Himalaya*. «C’est une femme simple, vive, drôle, une belle personne au tempérament solaire», témoigne Heather Lima, de Norlha, qui l’héberge. De la Suisse, Mira ne sait rien. Sauf que le pays compte beaucoup de belles montagnes. Elle cite Zermatt et le Cervin. Et a entendu parler de la Patrouille des Glaciers. «Un jour, quand je saurai skier, je viendrai!» C’est dit avec détermination.
    L’endurance, c’est le menu quotidien de Mira. A dose gargantuesque. Elle s’entraîne cinq heures par jour. «Je suis toujours émerveillée quand je cours dans la nature», dit-elle dans un anglais hésitant. Les collines du Jorat font son bonheur, mais son terrain de prédilection est plus escarpé: elle excelle sur les sentiers vertigineux, avalant des dénivelés XXL. La douceur de sa voix contraste avec la rudesse des efforts qu’elle s’impose. Ses disciplines, le trail et l’ultra-trail, réunissent les drogués de l’endurance sur des parcours démentiels. Jusqu’à 100 kilomètres à franchir d’une traite, avec des montées carabinées et des descentes à vous briser les articulations. Très tendance, ce sport a désormais son circuit international. Mira rêve d’en devenir la reine. L’égale au féminin du marathonien des cimes Kilian Jornet. A l’évocation de ce nom, Mira tapote sur son smartphone et montre des photos où elle pose aux côtés de l’Espagnol: ils se sont entraînés ensemble dans les brumes britanniques.
    «Rejoindre les rebelles maoïstes a été un levier pour une vie meilleure»
    Entre deux séances de course dans les bois du Jorat, Mira raconte son histoire avec cette surprise: adolescente, elle a été enfant-soldat dans la guérilla maoïste hostile au régime féodal perpétué par la royauté et le gouvernement népalais. Dans son cas, assure-t-elle, l’épisode a été «un levier vers une vie meilleure».
    Mira n’a partagé le quotidien des rebelles que durant les deux dernières années de la guerre civile népalaise, qui a fait plusieurs milliers de morts en dix ans. Elle n’a jamais dû participer à des combats. En revanche, elle a reçu un entraînement aux armes, aux arts martiaux et aux sports d’endurance. L’essentiel est ail­leurs. «Je me suis émancipée de ma famille et de la vie rurale.» Auprès de ses parents, elle était condamnée à se marier jeune et à ne jamais quitter son village. «J’ai rejoint la guérilla parce qu’elle défendait un modèle de société égalitaire. D’ailleurs, ses chefs traitaient les femmes avec respect; ils les considéraient comme égales aux hommes.»
    Quand, en 2006, la guérilla dépose les armes, un gourou qu’elle a connu dans les camps maoïstes lui apporte un soutien crucial. Il la dissuade de partir tenter sa chance en Malaisie, où elle croit pouvoir trouver un emploi rémunérateur. Il l’encourage à faire de la course à pied, convaincu de son potentiel exceptionnel.
    Une endurance forgée par les travaux de son enfance
    Son enfance passée à courir tous les jours pour des corvées d’eau et de bois épuisantes, puis pour des allers-retours toujours plus longs vers des marchés, a forgé son endurance et sa résistance à la souffrance. Enfant, elle a aussi participé à la vie des champs, portant de lourdes charges qui l’ont rendue robuste. «Nous vivions dans la précarité. Certains jours, il n’y avait pas assez à manger.»
    La première victoire de Mira au Népal n’a pas échappé à un Britannique lui-même coureur de trails. Richard Bull est devenu son coach et organise son calendrier de courses. «Mira Rai va bouleverser la communauté du trail», prédit Marcus Warner, président d’une association de coureurs. Entre-temps, un équipementier a pris la Népalaise sous son aile, un contrat se discute. Eloignée de ses parents qui la soutiennent, à l’aise dans la famille des trailers, Mira aligne les découvertes, de course en course, entre Asie et Europe. Elle en tire du plaisir et quelques revenus. Mais ce qui lui importe le plus est de délivrer ce message: «Je veux être un exemple pour les Népalaises. Si on leur donne une chance, elles réussissent de grandes choses.»

    5 eme place pour Tsering

    Aite-Swayambu-running-lloyd-belcher




    une course de 20 kilomètres à katmandou, le départ au sommet de Swayambhunath (le temple des singes) descente en direction de Yellow Gomba, puis 7 kilomètres de montée dans de tous petits chemins  jusqu'au temple de  Jamacho Stupa,   puis 13 kilomètres de descente à travers la forêt (parc naturel),qui était encore il y a quelques années la réserve de chasse privée du roi du Népal.
    2 courses étaient au programme une de 20 kilomètres et une de 50 kilomètres, Tsering termine à quelques longueurs des premiers à la 5ème place, quand à Bajé il termine dans les 20 premiers avec de bonnes fatigues dans les jambes.
    Dans cette course participait MIRA RAI (18 févr. 2016 - . Elle a remporté la course de 80 km autour du Mont-Blanc) 




    en compagnie de Mira Rai

    Au Népal, des femmes forcées à un exil menstruel

    Surkhet (Népal) (AFP) - La petite hutte au toit de chaume dans l'ouest du Népal ne protège guère du froid. Et pourtant Pabitra Giri doit s'y exiler à chaque cycle menstruel en vertu d'un rituel hindou vieux de plusieurs siècles.
    "Maintenant, j'y suis habituée. Au début, j'étais effrayée car j'étais loin de ma famille durant des nuits sombres", raconte à l'AFP la jeune femme de 23 ans.
    Pratique liée à l'hindouisme, la "chhaupadi" bannit les femmes du foyer le temps de leurs règles, lorsqu'elles sont alors considérées comme impures. Elles n'ont pas le droit de toucher la nourriture destinée aux autres, ni les icônes religieuses, le bétail ou les hommes.
    "Nous pensons que si nous ne suivons pas la chhaupadi, des malheurs nous arriveront, alors que dans le cas inverse, (les dieux) nous seront favorables", explique Pabitra.
    Dans certaines régions du Népal, les femmes venant tout juste d'accoucher doivent passer jusqu'à un mois dans la hutte bâtie à l'extérieur de la maison, aussi appelée "chhau goth".
    Mais deux décès récents liés à cette pratique ancestrale - une femme morte asphyxiée par la fumée du feu qu'elle avait allumée dans sa hutte pour se réchauffer; l'autre décès inexpliqué - ont relancé les appels à y mettre fin.
    Officiellement, la chhaupadi est interdite depuis une décennie, mais la pratique perdure au nez et à la barbe des autorités.
    Une proposition de loi actuellement examinée au Parlement népalais compte aller plus loin (au moins sur le papier) en prévoyant une peine de prison pour toute personne qui forcerait une femme à se conformer à cette pratique.
    - Superstitions -
    Mais des tentatives similaires par le passé se sont déjà heurtées aux profondes superstitions qui entourent ce rituel.
    Dans un village à quelques kilomètres de celui de Pabitra, Khagisara Regmi réfléchit à se construire sa propre hutte.
    Après la mort de son mari il y a huit ans, cette femme de 40 ans trouvait trop difficile de suivre cette pratique tout en élevant quatre jeunes enfants. Mais son unique fils a commencé à avoir des crises, vraisemblablement épileptiques.
    L'hôpital local n'arrivant à les guérir, elle s'est tournée vers un chaman local qui a attribué la condition de son fils au non-respect de la chhaupadi par la mère.
    "Parce que je n'ai pas respecté le principe de pureté, les dieux étaient mécontents. Ce n'était pas bon pour mon fils", dit-elle.
    Dans le Népal rural, les chamans de village, qui occupent le vide laissé par des services de santé déficients, et les personnes âgées s'érigent en gardiens de la tradition.
    Sabitra Giri, 70 ans, se souvient avec colère de la tentative de la rébellion maoïste contre la monarchie, pendant la brutale guerre civile de 1996-2006, de mettre fin à la chhaupadi dans le cadre d'une campagne contre la religion.
    "Tant que je serai vivante, cette pratique continuera !", lance-t-elle.
    Même dans la capitale Katmandou, trois foyers sur quatre pratiquent une forme de bannissement pendant les règles, en leur interdisant généralement l'accès à la cuisine et à la salle de prières, selon Pema Lhaki, une militante pour les droits des femmes.
    La plupart des tentatives qui ont eu lieu dans le passé pour combattre cette tradition ont privilégié la destruction des huttes.
    Mais cela n'a pas empêché les femmes d'être expulsées de leur foyer, les forçant parfois à dormir dans des cabanes plus rudimentaires ou même dehors.
    Pour Pema Lhaki, détruire ou non les huttes menstruelles n'est pas le sujet: le succès, ce sera quand les femmes ne se rendront plus dans ces huttes même si celles-ci continuent d'exister.

    samedi 4 mars 2017

    campagne contre la pollution a Katmandou

    Saison sèche, beaucoup de travaux dans la capitale, assainissement conduit pour l'eau  tout cela donne de la poussière plus la circulation. On   commence a voir des associations qui demandent plus de projets au gouvernement pour régler ces problèmes