lundi 28 mars 2016

Miam la chasse aux œufs de Pâques !

Hier dimanche 27 mars, a eu la première chasse aux œufs organisée par Little World Nepal France, dans le jardin de l'Abbaye de St Jacut de la Mer.

Nous pensions devoir passer entre les gouttes pour notre chasse, mais le soleil est revenu spécialement pour nous !

                          

Pour l'occasion, Jacqueline nous conte une histoire sur Pâques et nous donne le règlement de la récolte des œufs...

Puis, ni une, ni deux... Les "fauves" sont lâchés, la chasse aux œufs est ouverte !

                             

                            

Il faut aussi se servir de cannes à pêche pour récolter les fameux œufs ! C'est tout un métier.




Il y a des œufs cachés un peu partout dans le beau jardin de l'Abbaye. Mais surtout, les cloches ont apporté un gros lapin en chocolat qui se cache dans le jardin. Où est-il ? On espère que l'épouvantail ne l'a pas mangé...

                                             
                                             

Enfants, parents et grand-parents sont au travail. Il ne faudrait pas passer à côté des œufs !

                              


                               

                                 

                                 

                                 
                                     
C'est Baptiste qui a trouvé le lapin en chocolat. Mais par chance, les cloches en ont caché un deuxième, et c'est Céyane qui l'a trouvé !




Miam miam !  Tout le monde repart avec une super récolte. Nous n'en avons pas oublié un seul dans le jardin !!

A l'année prochaine, avec encore plus d'oeufs et de lapins...




vendredi 25 mars 2016

おはよう

Mukanda Boudha était un jeune parrainé par LWNF quand il faisait ses études d'assistant social à Kathmandou. Depuis 2 ans, il poursuit ses études au Japon par ses propres moyens, et a donc du travaillé dur pour les payer et subvenir à ses besoins au pays du soleil levant.

Mukunda vient de réussir ses examens de langue Japonaise et n'oublie pas LWNF. Il remercie l'association pour l'avoir aidé dans ses études.

Il reviendra au Népal dans deux ans, où sa femme et ses deux fils l'y attendent.

Prends soin de toi Mukunda !

                              

                                 








Mukunda Boudha was sponsored by LWNF when he studied as a social worker in Kathmandu. For two years now, he studies in Japan on his own. Indeed, he worked hard to be able to live there on his own.

He just passed his Japanese studies and he does not forget LWNF. He thanks the association for helping him in his studies.

He'll be back in Nepal in two years, where his wife and his two sons wait for him.

Take care of you Mukunda !


mardi 22 mars 2016

Bonne Fete des couleurs à vous tous

BONNE FÊTE DE HOLI!

L’ancienne fête religieuse hindoue “Holi” tombe fin février début mars.
Ce jour correspond à la célébration des couleurs. Cette fête dure une semaine. Toutefois, seul le dernier jour est fêté par tous avec des couleurs« Phagu » est l’autre nom de « Holi », il signifie « Poudre rouge sacrée » et Pune est le jour de pleine lune, qui marque la fin de cette fête. On peut voir des gens se promener dans les rues, à pieds ou en voiture avec différentes tâches colorées sur eux-mêmes.
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Jeunes filles durant Holi
Familles et amis se retrouvent pour célébrer cette occasion dans la joie. Cette célébration du printemps est aussi une explosion de l’exubérance de la jeunesse dans laquelle les jets de couleurs et de ballons d’eau sur les passants sont admis. Holi est pour chacun un moment d’amusement et de farce ; Un jour où l’on oublie son anxiété quotidienne et où l’on se réjouit des choses agréables de la vie.
 Un grand mât en bambou décoré de bandes et de franges colorées, sensé porter bonheur, est élevé dans la rue à Basantpur (place de Kathmandu près de l’ancien palais royal). On dit qu’il symbolise l’arbre sur lequel le seigneur Krishna suspendit, sans être vu, les vêtements des fermières pendant qu’elles prenaient leur bain dans la Jamuna au nord de l’inde.  L'apparition de ce mât marque le début des festivités et des célébrations pour une semaine. A la fin de celle-ci il sera brûlé dans un grand feu de joie.

lundi 21 mars 2016

Oeufs de Paques

Ou sont les oeufs???


Népal: le chef de l'autorité de reconstruction visé par une enquête pour corruption AFP AFP AFP 21 mars 2016


Le chef de l'autorité de reconstruction du Népal, créée après le séisme meurtrier d'avril, est visé par une enquête ouverte après des plaintes pour corruption, a annoncé lundi un responsable de l'organisme anti-corruption officiel.
Sushil Gyewali a été nommé en décembre à la tête de l'Autorité nationale de reconstruction (NRA) chargée de gérer les 4,1 milliards de dollars reçus après le séisme du 25 avril qui a tué près de 9.000 personnes et détruit plus d'un demi million de logements.
Des plaintes visent Gyewali concernant des décisions prises dans ses précédentes fonctions comme directeur exécutif du Town Development Fund, organisme public chargé de financer le développement urbain, et dans ses fonctions actuelles, a dit Krishna Hari Pushkar, porte-parole de la Commission for the Investigation of the Abuse of Authority.
"Plusieurs plaintes ont été déposées contre lui, assurant qu'il agit de concert avec des ONG en infraction avec nos procédures et notre système", a dit Pushkar.
La lenteur des efforts d'aide et de reconstruction sont également étudiés par l'organisme anti-corruption, a ajouté le porte-parole.
Gyewali, en visite avec le Premier ministre népalais en Chine, n'était pas joignable dans l'immédiat et son porte-parole s'est refusé à tout commentaire.
Le gouvernement avait promis la création en juin d'un organisme chargé de la reconstruction et de l'aide aux victimes pour convaincre les donateurs étrangers de participer à l'effort mais des différends politiques ont retardé sa formation jusqu'en décembre.
Des dizaines de milliers de survivants du 25 avril vivent toujours dans des tentes et le gouvernement est fortement critiqué pour le retard pris dans le versement apportée par les donateurs.
La corruption est fréquente au Népal, pays classé au 126e rang sur 175 dans le classement annuel de l'ONG Transparency International.

samedi 19 mars 2016

Quand miss Hawley raconte les sherpas du Népal

18 mars 2016

Emmanuel Tellier, envoyé spécial à Katmandou


A Katmandou, on a rencontré une femme exceptionnelle. Elle a 92 ans, une mémoire d’éléphant, un humour délicieusement corrosif et une connaissance encyclopédique de l’histoire de l’himalayisme. La journaliste américaine Elizabeth Hawley – mais tout le monde dit « miss Hawley » – a passé cinquante années de sa vie au pied des montagnes, à tenir la chronique des grandes expéditions sur les sommets du Népal. Amie intime du premier homme sur « le toit du monde », le légendaire Néo-Zélandais Edmund Hillary, elle a aussi fréquenté, on s’en doute, des dizaines de représentants de l’ethnie sherpa, dont les hommes sont à la fois d’extraordinaires travailleurs d’altitude et des champions à part entière. Tenzing Norgay, le compagnon de cordée de Hillary, était aussi son ami. Cette petite grand-mère est tellement respectée au Népal que les autorités du pays ont donné son nom (de son vivant !) à une montagne : le Hawley Peak, à 6 182 mètres d'altitude. Pour nous parler Everest et sherpas, on ne pouvait rêver plus belle rencontre.

Permanence dimanche 20 Mars


Tous les troisièmes dimanches du mois, LWNF assure une permanence au Centre associatif et culturel de St Jacut de la Mer (22).
Demain le 20 Mars, n'hésitez pas à venir nous rencontrer entre 18h et 20:00.
 Nous serons ravis de vous parler de l'association, de nos étudiants parrainés, de la situation au Népal après la fin du blocus Indien, et plus encore.

mercredi 16 mars 2016

Sunita Magar montre son passeport le 25 janvier 2016 à Dhadhing au Népal de retour de Syrie



Sunita Magar pensait avoir quitté son village au Népal pour un emploi sûr au Koweit, mais ce n'est qu'à l'atterrissage à Damas qu'elle a réalisé que "quelque chose avait très mal tourné".
Battue et ne recevant qu'un repas par jour, Magar raconte avoir passé 13 mois comme domestique dans un foyer syrien.
"J'étais en état de choc, je ne pouvais m'arrêter de pleurer", dit cette mère célibataire de deux enfants à l'AFP.
Magar est l'une de ces nombreuses femmes pauvres du Népal et duBangladesh parties au Moyen-Orient avec la promesse d'un emploi rémunérateur et qui se sont retrouvées en Syrie, prises au piège des trafiquants dans un pays en guerre.
Le chef de la représentation diplomatique du Népal au Moyen-Orient, basée au Caire, explique que les émigrés des Philippines et d'Indonésie - autres grands pays d'émigration de travail - ont cessé de travailler en Syrie en raison du danger: alors depuis deux ou trois ans, "les trafiquants ciblent les Népalais", dit Kaushal Kishor Ray.
"Nous estimons qu'il y a environ 500 Népalaises en Syrie, leur nombre a fortement augmenté au cours des dernières années", déclare Ray à l'AFP.
Au Bangladesh, depuis son lit d'hôpital à Dacca, Shahinoor Begum tente de reprendre pied après ses sept mois de cauchemar comme esclave sexuelle en Syrie.
"J'ai été vendue à un Syrien qui m'a torturée et violée chaque jour, parfois avec ses amis", raconte à l'AFP cette mère célibataire de deux enfants. "J'implorais leur pitié mais ils n'en avaient aucune. Au contraire, ils m'ont frappée jusqu'à me casser les bras".
Accompagnée par des agents de recrutement, cette mère de 28 ans a quitté le Bangladesh avec d'autres femmes, avec la promesse de devenir domestique en Jordanie.
Mais elles aussi se sont retrouvées en Syrie, où les combats entre le régime et les rebelles ont fait plus de 260.000 morts.
Begum a contracté sur place une maladie du genou, poussant ses bourreaux à contacter sa mère âgée pour lui extorquer de l'argent en échange d'un rapatriement.
Son cas et deux autres font l'objet d'une enquête au Bangladesh, indique le lieutenant Colonel Golam Sarwar, des forces d'élite du Rapid Action Battalion (RAB). Les familles de 43 autres femmes ont déposé plainte pour les mêmes raisons.
"Le Bangladesh semble être une cible facile pour les trafiquants", dit Sarwar à l'AFP.
- 'Terrorisée en permanence' -
Les femmes du Népal et du Bangladesh sont les proies des réseaux de trafiquants car leurs gouvernements ont peu influence dans la région et n'ont aucune ambassade en Syrie.
L'interdiction décidée par le Népal de toute immigration de travail vers la Syrie n'a eu aucun effet sur ces réseaux, explique un représentant du Organisation internationale du travail (OIT).
"Le gouvernement népalais pense que l'interdiction est la solution la plus facile, cela lui permet de se débarrasser du problème", estime Bharati Pokharel, coordinateur de projets de l'OIT à Katmandou.
"L'Inde a beaucoup plus d'influence que le Népal et le Bangladesh et les trafiquants en sont conscients. Ils savent que le Népal est faible et qu'ils ne risquent donc aucune poursuite", dit-il à l'AFP.
Illettrée, soucieuse de sortir à tout prix de la pauvreté, Magar n'a pas hésité à suivre l'agent l'ayant approchée avec la promesse d'un emploi bien payé au Koweit. Jusqu'à Damas, la jeune femme de 23 ans ne s'est doutée de rien.
Ensuite, "j'ai été en permanence épuisée, affamée et terrorisée", dit-elle en racontant ses journées de 20 heures non payées et ses rares heures de sommeil passées sur le balcon de son employeur.
La nuit, pour masquer le bruit des tirs et chasser ses idées suicidaires, Magar écoutait de la musique népalaise sur son mobile - dont elle disposait, à la différence de son passeport, qui lui avait été confisqué.
- Fonctionnaires corrompus -
Après le séisme meurtrier d'avril au Népal, la jeune femme a supplié ses employeurs de pouvoir rentrer chez elle. Alertée par sa famille, la presse népalaise s'est fait l'écho de cette histoire et une campagne sur les réseaux sociaux s'est organisée pour sauver Magar. La diaspora népalaise s'est mobilisée pour verser 3.800 dollars et la libérer de ses employeurs.
Rentrée en août, Magar s'estime chanceuse d'avoir pu fuir.
Le Népal reconnaît être impuissant à agir en Syrie. L'ambassade au Caire, qui couvre neuf pays dont la Syrie, est débordée, souligne le responsable du ministère des Affaires étrangères népalais. "Nous avons surtout besoin d'action préventives pour empêcher ces femmes de venir en Syrie", dit le diplomate Ray.
Les experts estiment que des liens entre les agents de recrutement népalais impliqués dans le trafic et des fonctionnaires permettent à ces réseaux de traite et d'exploitation de femmes de prospérer.
"Même dans les rares cas de poursuites, les affaires trainent ou n'aboutissent pas à une condamnation", dit Krishna Gurung, coordinatrice de l'ONG Pourakhi à Katmandou, qui organise l'hébergement d'urgence de femmes migrantes.
Dans le village de Murali Bhanjyang au centre du Népal, Magar a peu d'espoir de voir les trafiquants devant la justice. "Je continue d'avoir ces cauchemars et je me mets à pleurer dans mon sommeil", raconte-t-elle.

Sunita Magar entourée de ses engants le 25 janvier 2016 à Dhadhing au Népal de retour de Syrie

lundi 14 mars 2016

Joyeux Anniversaire Umesh


Résumé du Loto de Plédéliac

                                                  Préparation de la salle  la veille
Matin de bonne heure et de bonne humeur  préparation des casses-croûtes

L'équipe des crêpières : les 500 crêpes doivent être prêtes pour 11heures

                                            Noël avec Simone la doyenne aux gâteaux
La petite salle prête pour encaisser les cartes du loto

                                                              Les fameuses cartes
                                            Ne pas oublier le bar, nous sommes en Bretagne!!!
                                    En cuisine l'équipe de bénévoles termine le goûter
                               Attention certaines tables de Loto sont réservées depuis quelques jours

                                                    11 heures ouverture des caisses
                            Démarrage sur les chapeaux de roues...  les premiers sont déjà en salle
                                    depuis 9h30 ce matin pour 14 heure début du Loto.
Bientôt le silence  début des opérations

Salle pleine: que du bonheur, Noël respire, il va pouvoir bien dormir ce soir

                     Daniel et Raymonde animateurs de cet après midi, ils sont excellents
La table des bénévoles

                           Nouvelle profession pour Jean Yves (a t-il reçu des pourboires???)
                             Chaud devant


                            Huguette à la vente de gâteaux :  est-ce bien raisonnable!!!!
On fait les comptes

Grand, GRAND merci à toute l'équipe de bénévoles, Noël, Danièle, Daniel, Raymonde et vous TOUS.
Ne pas oublier Andrée la sous chef de Noël (pour ne pas dire la Chef)

Le mot final de Noël

Celui de LWNF est BRAVO à vous TOUTES et TOUS